On dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer et nous devons changer les choses nous-mêmes • • Raven ♥
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On dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer et nous devons changer les choses nous-mêmes • • Raven ♥
Les fleurs du mal
2h00, 2h02, 2h03... Tu voyais les heures défiler, sans trouver le sommeil. Va savoir pourquoi. Peut-être parce que tu étais en pleine forme ? Tu avais une irrésistible envie de te défouler, pour une obscure raison. En fait, t'étais bien une femme : en rogne pour un rien. Tu te redressas d'un coup, avant de rejoindre ton armoire. Tu jetas ton pyjama au sol, d'un geste désintéressé, avant d'enfiler une robe, et le manteau que Raven t'avait offert. Tu ne le quittais jamais. Tu quittas ensuite discrètement l'internat, avant de te rendre vers le village, dans l'idée de trouver deux trois idiots à tabasser. C'était le seul moyen que tu avais trouvé pour t'occuper. Va savoir pourquoi, la violence soulageait tes maux. D'un pas nonchalant, tu te dirigeas vers une ruelle, attendant une victime d'un air agacé. Il était tard, seuls des adolescents complètement bourrés passaient par là. Chose que tu ne comprenais pas. Tu avais beau jouer les rebelles, jamais tu n'avais vu un goûte d'alcool, ou touché à une cigarette. Si tu le faisais, Raven ferait surtout la gueule en fait. Et ça, tu n'en avais pas envie. Raven t'obsédait, tellement, que tu ne voulais rien faire pour le décevoir. Tu ne voulais pas le perdre. Tu avais déjà assez morflé comme ça, non ? Il ne savait donc pas que tu avais recommencé à renouer avec tes vieux démons. Et tu ne comptais pas lui dire. Heureusement, il ne voyait pas tes bleus. Au bout d'une dizaine de minutes, un homme sortit finalement d'un bâtiment. Tu attendis qu'il passe près de toi, dans la pénombre, avant de l'attraper et le jeter contre un mur. Tu te précipitas ensuite vers lui, afin de le frapper, plusieurs fois, sans t'arrêter. Ah ! Ça faisait un bien fou ! Alors que tu comptais lui assigner une autre droite, quelque chose te tira en arrière. Tu eus beau de te débattre, tu n'arrivas pas à te dégager. Tu regardas en arrière, afin de voir le salaud qui osait te toucher. Un gars, qui faisait deux, voire trois têtes de plus que toi. Ouais, faut dire, t'était une naine. Tu tentas de lui donner un coup de pied dans le genou, pour qu'il te lâche, en vain.
Le type que tu avais commencé à tabasser commença à s'approcher de toi, alors que tu lui jetais un regard noir. Merde, il avait pas peur ? Dès qu'il fut assez proche de toi, tu lui crachas à la figure, cela lui apprendra, tient ! Sauf que, ça n'avait pas l'air de lui plaire, puisqu'il te gifla, sans aucune retenue. Sale type, il osait frapper une femme. Tu tentas de riposter, en lui donnant un coup de pied cependant, l'abruti qui te tenait te tira en arrière, en serrant plus fort tes bras. T'étais dans la merde, jusqu'au cou. C'était la première fois que tu te retrouvais dans une position aussi délicate. De plus, tu restais silencieuse... Où était passée la Perséphone violente ? Raven l'avait bouffé ou quoi. Bon déjà, tu restais calme, t'allais pas montrer que tu avais peur tout de même. Tu avais trop de fierté pour ça. Quand l'un des types t'attrapa le menton, un frisson de dégoût parcourra ton corps. Tu n'avais pas vraiment l'habitude que Raven te touche comme ça, mais là, c'était un autre homme, un connard. Tu détournas le regard, afin de te dégager. Mais, ton assaillant se montra à nouveau violent, en t'attrapant par les joues :
- Salope... Tu vas me le payer...
Tu ne pu t'empêcher de rire. Il était sérieux ? Il croyait que quelques coups allait te blesser ? Que tu allais le supplier d'arrêter ? La bonne blague. Ce n'était pas toi, ça. Tu lui lança un sourire provocateur :
- Tu crois que tu m'fais peur toi ? Frappe moi tant que tu veux j'm'en fou. Tu crois quoi ? Que je vais chialer ? Te supplier d'arrêter ? T'a besoin de ton pote pour me tabasser ? Pathétique, voilà tout. T'es qu'une taffiole mec. T'as pas de couilles, pour te faire tabasser de la sorte par une femme. J'aurais honte, à ta place.
Il n'avait pas du tout apprécié. En même temps, il t'avait tendu la perche. Puis, tu aimais trop jouer les provocatrices pour te taire. Il te fixas longuement, hésitant même à te frapper à nouveau. Finalement, il baissa le point, un sourire perfide aux lèvres :
- J'ai une meilleure idée. Quelque chose qui te feras fermer ta grande gueule. T'es plutôt pas mal en plus. Tu vas voir, des couilles, j'en ai.
Tu clignas des yeux plusieurs fois, par peur de ne pas comprendre. Hein, quoi ? Oh putain, t'était vraiment douée pour te foutre dans la merde. Puis, y'avait des gens aussi tarés que toi ? Oh putain, ça craint, faut que tu te casses. Dès que l'autre salaud s'approcha de toi, afin de te retirer ton manteau, tu lui balança un coup de pied dans le bide. C'était pratique d'être souple. Tu écrasas ensuite le pied de celui qui te tenait, pour qu'il lâche prise. Ce qu'il fit, en te balançant dans le mur. Aïe, ton pauvre dos. Tu ne le montrais pas, mais tu priais intérieurement pour que quelqu'un vienne t'aider, n'importe qui. Tu te relevas difficilement, avant de partir en courant. Ce n'était pas dans tes habitudes, mais tant pis. Néanmoins, ta course fut rapidement stoppée. Tu te cognas dans quelque chose de visiblement humain, et te rétama, au passage, avec la chose en question. Tu jetas un rapide coup d’œil en arrière. Et merde, les revoilà eux. Tu marmonnas seulement un "putain..", tout en serrant les dents.
Le type que tu avais commencé à tabasser commença à s'approcher de toi, alors que tu lui jetais un regard noir. Merde, il avait pas peur ? Dès qu'il fut assez proche de toi, tu lui crachas à la figure, cela lui apprendra, tient ! Sauf que, ça n'avait pas l'air de lui plaire, puisqu'il te gifla, sans aucune retenue. Sale type, il osait frapper une femme. Tu tentas de riposter, en lui donnant un coup de pied cependant, l'abruti qui te tenait te tira en arrière, en serrant plus fort tes bras. T'étais dans la merde, jusqu'au cou. C'était la première fois que tu te retrouvais dans une position aussi délicate. De plus, tu restais silencieuse... Où était passée la Perséphone violente ? Raven l'avait bouffé ou quoi. Bon déjà, tu restais calme, t'allais pas montrer que tu avais peur tout de même. Tu avais trop de fierté pour ça. Quand l'un des types t'attrapa le menton, un frisson de dégoût parcourra ton corps. Tu n'avais pas vraiment l'habitude que Raven te touche comme ça, mais là, c'était un autre homme, un connard. Tu détournas le regard, afin de te dégager. Mais, ton assaillant se montra à nouveau violent, en t'attrapant par les joues :
- Salope... Tu vas me le payer...
Tu ne pu t'empêcher de rire. Il était sérieux ? Il croyait que quelques coups allait te blesser ? Que tu allais le supplier d'arrêter ? La bonne blague. Ce n'était pas toi, ça. Tu lui lança un sourire provocateur :
- Tu crois que tu m'fais peur toi ? Frappe moi tant que tu veux j'm'en fou. Tu crois quoi ? Que je vais chialer ? Te supplier d'arrêter ? T'a besoin de ton pote pour me tabasser ? Pathétique, voilà tout. T'es qu'une taffiole mec. T'as pas de couilles, pour te faire tabasser de la sorte par une femme. J'aurais honte, à ta place.
Il n'avait pas du tout apprécié. En même temps, il t'avait tendu la perche. Puis, tu aimais trop jouer les provocatrices pour te taire. Il te fixas longuement, hésitant même à te frapper à nouveau. Finalement, il baissa le point, un sourire perfide aux lèvres :
- J'ai une meilleure idée. Quelque chose qui te feras fermer ta grande gueule. T'es plutôt pas mal en plus. Tu vas voir, des couilles, j'en ai.
Tu clignas des yeux plusieurs fois, par peur de ne pas comprendre. Hein, quoi ? Oh putain, t'était vraiment douée pour te foutre dans la merde. Puis, y'avait des gens aussi tarés que toi ? Oh putain, ça craint, faut que tu te casses. Dès que l'autre salaud s'approcha de toi, afin de te retirer ton manteau, tu lui balança un coup de pied dans le bide. C'était pratique d'être souple. Tu écrasas ensuite le pied de celui qui te tenait, pour qu'il lâche prise. Ce qu'il fit, en te balançant dans le mur. Aïe, ton pauvre dos. Tu ne le montrais pas, mais tu priais intérieurement pour que quelqu'un vienne t'aider, n'importe qui. Tu te relevas difficilement, avant de partir en courant. Ce n'était pas dans tes habitudes, mais tant pis. Néanmoins, ta course fut rapidement stoppée. Tu te cognas dans quelque chose de visiblement humain, et te rétama, au passage, avec la chose en question. Tu jetas un rapide coup d’œil en arrière. Et merde, les revoilà eux. Tu marmonnas seulement un "putain..", tout en serrant les dents.
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Perséphone I. Ashford- Messages : 80
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Re: On dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer et nous devons changer les choses nous-mêmes • • Raven ♥
UNRAVEL
"Raven était sortie le soir, en quête d'argent. Le garçon comptait faire un cadeau à sa petite amie, mais celui-ci était complètement ... Fauché. Il partit donc en recherche de victime, comme à son habitude, pour les détrousser. Afin de ne pas être reconnu auprès de ces victimes, et tout autre personne voulant l'arrêter, le garçon porta un masque noir au sourire ... Sournois. (voir .gif). C'est ainsi que l'homme chercha des âme généreuse voulant bien lui donner un peu d'argent.
Casser des dents, fracturer des côtes, péter des bras, tel était la soirée plutôt amusante de Raven, d'après lui-même. L'adolescent avait réussi à réunir pas mal d'argent, entre ses mains ensanglantées par ses pauvres victimes. Mais il ne comptait s'arrêter là. Il continua sa petite chevauchée nocturne, a travers diverse rue jusqu'à une ruelle sombre. Il y avait déjà de l'activité dans celle-ci. A priori, plusieurs hommes malmener une jeune femme, en train de courir et se cogner contre toi. Il ne te fallut pas énormément de temps pour reconnaître la silhouette de ta copine.
« putain.. ».
« Ne t'en fais pas Perséphone, il ne te fera plus rien. Tu retiras ton masque avant de continuer : je vais vous détruire. »
Il courra vers l'homme le plus proche de vous afin de lui assener une dizaine de coups en pleine face, jusqu'à que ce bâtard pisse le sang. Un sourire satisfait se dessina sur son visage, avant de fixer le deuxième homme. Il t'approcha de celui-ci, dans l'espoir de pouvoir lui régler son compte de la même façon que le premier. Sauf que celui-ci savait se battre. Ce suivi un échange de poing, plus ou moins violent. Pendant un moment d'inattention, alors que Raven regardait derrière lui si Perséphone n'avait rien, l'homme lui mit une droite en pleine tête, lui cassant le nez.
-« Tu sais que tu n'auras jamais dû faire ça, mon vieux ? »
Il fixa Perséphone, sachant très bien comment la demoiselle allait réagir. L'homme n'en avait visiblement plus pour longtemps. En effet, la jeune femme avait déjà sauté sur l'homme pour lui briser les dents. Il ne tenu pas longtemps face à cette furie enragée. Après ces éclats de sang, Raven récupéra le manteau tombé de Persé pour lui redonner. Tout en essuyant le peu de sang sur son visage, il commença à la taquiner.
- « Tu fais vraiment peur à voir, tu sais ? »
Suite à ces évènements, le Jouvenceau fit quelque choses qu'il n'avait encore jamais fait. Il prit la main de sa bien-aimée. Le garçon prit quelques secondes avant de s'en apercevoir. Paniquer, il l'enleva puis remit son masque pour cacher ses joues, rouges.
- « Le jour va finir par se lever... Tu veux faire quelques choses ? »
Casser des dents, fracturer des côtes, péter des bras, tel était la soirée plutôt amusante de Raven, d'après lui-même. L'adolescent avait réussi à réunir pas mal d'argent, entre ses mains ensanglantées par ses pauvres victimes. Mais il ne comptait s'arrêter là. Il continua sa petite chevauchée nocturne, a travers diverse rue jusqu'à une ruelle sombre. Il y avait déjà de l'activité dans celle-ci. A priori, plusieurs hommes malmener une jeune femme, en train de courir et se cogner contre toi. Il ne te fallut pas énormément de temps pour reconnaître la silhouette de ta copine.
« putain.. ».
« Ne t'en fais pas Perséphone, il ne te fera plus rien. Tu retiras ton masque avant de continuer : je vais vous détruire. »
Il courra vers l'homme le plus proche de vous afin de lui assener une dizaine de coups en pleine face, jusqu'à que ce bâtard pisse le sang. Un sourire satisfait se dessina sur son visage, avant de fixer le deuxième homme. Il t'approcha de celui-ci, dans l'espoir de pouvoir lui régler son compte de la même façon que le premier. Sauf que celui-ci savait se battre. Ce suivi un échange de poing, plus ou moins violent. Pendant un moment d'inattention, alors que Raven regardait derrière lui si Perséphone n'avait rien, l'homme lui mit une droite en pleine tête, lui cassant le nez.
-« Tu sais que tu n'auras jamais dû faire ça, mon vieux ? »
Il fixa Perséphone, sachant très bien comment la demoiselle allait réagir. L'homme n'en avait visiblement plus pour longtemps. En effet, la jeune femme avait déjà sauté sur l'homme pour lui briser les dents. Il ne tenu pas longtemps face à cette furie enragée. Après ces éclats de sang, Raven récupéra le manteau tombé de Persé pour lui redonner. Tout en essuyant le peu de sang sur son visage, il commença à la taquiner.
- « Tu fais vraiment peur à voir, tu sais ? »
Suite à ces évènements, le Jouvenceau fit quelque choses qu'il n'avait encore jamais fait. Il prit la main de sa bien-aimée. Le garçon prit quelques secondes avant de s'en apercevoir. Paniquer, il l'enleva puis remit son masque pour cacher ses joues, rouges.
- « Le jour va finir par se lever... Tu veux faire quelques choses ? »
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Dernière édition par Raven Ryouta le Dim 18 Jan - 22:18, édité 1 fois
Raven Ryouta- Messages : 55
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Re: On dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer et nous devons changer les choses nous-mêmes • • Raven ♥
Les fleurs du mal
Oh putain. Raven, Raven était là. Tu ne pu t'empêcher de sourire. Ils étaient morts. Tu ne le quittas pas des yeux, le regardant malmener ces pauvres cons, un sourire malsain aux lèvres. Ton petit-ami était vraiment génial, le seul qui pouvait vraiment t'arriver à la cheville. Tu l’encourageas intérieurement, tandis que tu récupérais tes forces, petit à petit. Tu fis soudainement sortie de ta torpeur, par le bruit d'un brisement d'os. Putain, tu allais lui défoncer la gueule. Ni une, ni deux, tu redressas, avant de te jeter sur l'homme. Raven avait raison, il allait le regretter. Tu lui cassas une ou deux dents, avant de lui assigner un coup dans le ventre, qui l'acheva. Tu retournas ensuite vers ton petit-ami, l'air inquiète. Mais, finalement, il n'avait pas l'air en si mauvais état, puisqu'il te taquinait. Tu le laissas essuyer le sang qui avait giclé sur ta figure, frissonnant lorsque tu sentis le si rare contact de sa peau contre la tienne. Tu lui souris, d'un air taquin :
- Et toi... Tu te crois mieux ! C'est moi qui vais encore devoir te soigner... Soupira-tu, avant de sortir une trousse de premiers soin de la poche de ton manteau.
Tu fis en sorte d'arrêter le saignement, avant de rire doucement :
- T'as l'air con comme ça mais bon... J'ai l'habitude avec toi maintenant ! Plaisantas-tu, en t'appuyant contre le dos de ton petit-ami. Je n'ai plus l'habitude de dormir sans toi faut croire... Impossible de trouver le sommeil ces temps-ci
Tes joues se teintèrent d'une délicate couleur rougeâtre, lorsque Raven entrelaça vos doigts, tu détournas le regard, tout en serrant un peu plus sa main. Tu avais quand même besoin d'un peu de réconfort après tout ça. Lorsqu'il la retira sous le coup de la surprise, et de la gêne, tu ne pus t'empêcher de lui dérober son masque, avant de te cacher avec :
- Tu sais qu'ils ont voulu me violer, moi ?! Ils ont pas peur... Quand on sait à quel point tu m'as "dévergondée" ! Ajoutas-tu, dans un petit rire.
Quand tu faisais référence au mot "dévergonder", tu renvoyais au moment où ce pervers t'avais mater en train de te laver. Tu t'étais sentie tellement conne à ce moment là.
- Hmm... Je suis sûr que tu peux pas voler 69 porte monnaies d'affilés.
Ouuiiii. Sinon c'est Raven qui t'avait dévergondée. Avoue que tu n'avais pas choisi ce chiffre par hasard... Tout en lui remettant son masque sur le visage, en galérant, naine que tu étais, tu ébouriffas ses cheveux, avec un petit rire :
- Et si, on prenait un bain de minuit, là maintenant.
Tu attrapas la manche de son manteau, avant de le tirer près d'un lac, sourire aux lèvres :
- T'es partant ?
Tu plaisantais, évidement. Mais reste à savoir comme Raven le pervers allait l'interprêter.
- Et toi... Tu te crois mieux ! C'est moi qui vais encore devoir te soigner... Soupira-tu, avant de sortir une trousse de premiers soin de la poche de ton manteau.
Tu fis en sorte d'arrêter le saignement, avant de rire doucement :
- T'as l'air con comme ça mais bon... J'ai l'habitude avec toi maintenant ! Plaisantas-tu, en t'appuyant contre le dos de ton petit-ami. Je n'ai plus l'habitude de dormir sans toi faut croire... Impossible de trouver le sommeil ces temps-ci
Tes joues se teintèrent d'une délicate couleur rougeâtre, lorsque Raven entrelaça vos doigts, tu détournas le regard, tout en serrant un peu plus sa main. Tu avais quand même besoin d'un peu de réconfort après tout ça. Lorsqu'il la retira sous le coup de la surprise, et de la gêne, tu ne pus t'empêcher de lui dérober son masque, avant de te cacher avec :
- Tu sais qu'ils ont voulu me violer, moi ?! Ils ont pas peur... Quand on sait à quel point tu m'as "dévergondée" ! Ajoutas-tu, dans un petit rire.
Quand tu faisais référence au mot "dévergonder", tu renvoyais au moment où ce pervers t'avais mater en train de te laver. Tu t'étais sentie tellement conne à ce moment là.
- Hmm... Je suis sûr que tu peux pas voler 69 porte monnaies d'affilés.
Ouuiiii. Sinon c'est Raven qui t'avait dévergondée. Avoue que tu n'avais pas choisi ce chiffre par hasard... Tout en lui remettant son masque sur le visage, en galérant, naine que tu étais, tu ébouriffas ses cheveux, avec un petit rire :
- Et si, on prenait un bain de minuit, là maintenant.
Tu attrapas la manche de son manteau, avant de le tirer près d'un lac, sourire aux lèvres :
- T'es partant ?
Tu plaisantais, évidement. Mais reste à savoir comme Raven le pervers allait l'interprêter.
Codage fait par Corpse²
Perséphone I. Ashford- Messages : 80
Date d'inscription : 18/09/2014
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