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T'étais pas mort toi connard ? [Pv Damon]

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Rp terminé T'étais pas mort toi connard ? [Pv Damon]

Message par Invité Mer 12 Mar - 0:42



I want to hide the truth I want to shelter you But with the beast inside There's nowhere we can hide.

Décembre, cycle 1

T’étais tranquillement dans ton bungalow entrain de planer, encore une fois. Tfaçon, t’es toujours défoncée. ça fait partie de toi maintenant, peu de personne te voit dans ton état normal. Fixée sur ta porte, tu rigolais toute seule. Oui une porte peut te faire rire. Et puis, d’un coup tu remarques un petit papier entrain de pourrir. Tu te lèves doucement. Tout tourne autour de toi. Tu marches alors maladroitement jusqu’à l’enveloppe. Tes mains tremblent. Tout ton être vacille, mais tu arrives à ouvrir ce fichue emballage. Certes avec difficulté mais tu y parviens. Lorsque tu lis le papier, tout les mots bougent. Ils font un peu la danse de la macarena. Tout ce que tu retiens c’est cinq mots. Rejoint. 16h. Vieux pont. Ville. Tu fronces alors les sourcils. Qui veut te voir, qui te connaît et qui est dans le même internat que toi ? En une phrase. Qui- est- ce ? Tu poses alors ton regard sur ton réveille. 15h30. Tu soupires. Sérieusement, t’étais pas enchantée d’y aller. Tu voulais même pas y aller. Si ça se trouve, c’était un piège. Si ça se trouve on allait te kidnapper, te violer et te tuer après. Bah quoi ? Tout peut arriver dans ce lycée de fou. Avant de partir à ton rendez- vous. Tu t’équipes d’un de tes tarpé et d’un couteau que t’as volé dans la cuisine. Et bien, oui, tu es peut- être dans un internat pour te redresser mais tu restes une pickpocket, une voleuse.

Tu ne pris pas le temps de te recoiffer, ni de t’habiller correctement. Dans tout les cas, tu ne l’aurais pas fait. Tu t’en fous royale de ton esthétique. Et puis, t’aimes pas vraiment être en retard non plus. Tu sors de ta chambre, tu rencontres le monde extérieur. La merde. Les gens te regardent comme si t’étais une extraterrestre. Quoi ? Ils ont jamais vu une toxico qui a chaque pas qu’elle fait a un spam ? C’est ça les effets de la drogue. Tu marches comme une handicapé quoi. Ou c’est peut- être parce qu’ils ont pris la peine de te regarder ? Aucune idée. Une chose est sur tu restais de marbre face à toute leurs tentative d’accostage. Tu passais ton chemin, tel un fantôme qui erre dans les couloirs du lycée. “Hé mademoiselle ?” Vent. Tu n’étais pas surnommée cadavre pour rien. Les morts ne parlent pas, comme toi. Tu guettes si les vigiles sont là. Droite- gauche. Personne, tu enjambes le portail et te taille. Oui, à la base t’as pas le droit de sortir. On est en période de cour, mais toi tu sèches quasi tout le temps. Tu préfère largement, allez dans la bibliothèque et apprendre seule. Dans la rue, tu passe inaperçu. Tu te mêles bien à la foule, histoire que personne ne te remarque. Étant donnée que tu passes dans la ville. Tu en profites pour acheter de la coke, à ton dealer favoris. Il est tellement con lui. Il se rend jamais compte qu’à chaque fois que tu le vois, tu lui voles un peu de coke qu’il dissimule dans sa poche droite. On ne change pas les bonnes veilles habitudes hein.

15h55. Accoudée au pont, regardant l’eau s'écouler doucement. Tu attends, patiemment. Habillée d’un de tes incontournables slim cuire avec des chaînes un peu partout, de tes dock martens noires, d’une de tes vestes légères à clou et d’un débardeur où est marqué en gros “FUCK YOU.” Tu tires sur ton join. Ton petit bout de crack qui te fait délirer. Vu comme ça, tu donnes pas envie aux gens de s’approcher. Seule, les plus téméraire voudront t’accoster ou les junkies. Tu fais parties de leurs clans on peut dire, même si pour toi. Tu marches seule. Néanmoins, si l’on devait t’ajouter dans une case se serait sûrement dans celle là. L’eau qui ruisselle t’apaise. Ton cœur s’apaise un peu. C’est à dire, qu’il est quasi tout le temps excité avec tout le poison que tu lui injectes. Je ne parle pas de tes poumons. Ils doivent être aussi noir que tes cheveux, tes yeux. Tu tapes du pieds tout en fredonnant l’air de Numb de Linkin Park. C’est pas que tu te fais chier, mais presque. Putain, mais pourquoi t’es là ? T’aurais pu resté dans ton lit, tranquille entrain de broyer du noir comme d’habitude. Mais non, y’a un pauvre abrutis qui t’as demandé de te bouger le cul. Sérieux quoi.

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Rp terminé Re: T'étais pas mort toi connard ? [Pv Damon]

Message par Invité Mer 12 Mar - 1:54

Mardi matin. Ça faisait à présent une semaine que je l'avais revu, une semaine que je l'ai observé et l'ai reconnu. Elle à changée, étrangement d'ailleurs, depuis le temps que je ne l'avais pas revu il à du se passer un tas de trucs. Maigrichonne, camée et amorphe c'était devenu un vrai zombie pour le peu de fois que j'ai pu l'observer, et dire que dans notre enfance on passait notre temps ensemble pour se retrouver finalement tout les deux ici, quelle merde sérieux...

J'avais décidé de lui faire un mot, sur un bout de papier juste marquer l'essentiel, un rendez-vous à 16h sur le vieux pont, je connaissais à présent la ville et c'était un endroit peu fréquenté à cette heure la. Je n'étais vraiment pas du genre à faire le premier pas mais la c'était une situation assez exceptionnelle. Bref la matinée passa vite entre les cours et le repas il était bientôt 16h je devais me préparer. Mon compagnon de chambre n'était pas la, inutile de prévenir que je sortais il allait bien s'en apercevoir tout seul. Enfilant ma veste noire avec des bordures rouges ainsi que des rangers militaires comme d'habitude je me tirais.

A ma sortie du bungalow il faisait beau, ni trop chaud ni froid, j'étais comme à mon habitude en avance, les mains dans les poches j’avançais doucement, croisant quelques connards avec qui j'ai déjà eu l'occaz' de montrer qui était le dominant.
Arrivant bientôt à la ville j'avais décidé de perdre du temps on me promenant dans divers commerces qu'il y avait afin de simplement perdre du temps, je ne voulais pas arriver en premier histoire de voir si elle allait se présenter ou non, après tout son apparence n'était plus vraiment la même, qu'est que je pouvais attendre d'une petite camée.

15h55, j'étais à environ 10mn du pont, j'avais décider de me bouger, enfin. Marchant doucement, les mains dans les poches, la foule commençait à se dissiper alors que j'arrivais vers le pont. De loin j'apercevais une silhouette accoudée sur le pont. Habillée comme une rebelle, c'était elle, finalement venue comme je lui avais demandé, elle avait peut-être au fond pas changé tant que ça, j'ai mal fais de la juger sur son apparence.

M'approchant doucement derrière elle, j'affichais un sourire presque sadique mais remplis de joie, une joie inconnue de revoir une amie d'enfance, de revoir celle que je considérait et le fait encore comme ma ptite frangine. Je me remémorais très rapidement tout les moments que l'on avait passé étant petits, voir ado. Ça me faisait marrer. Je fis un grand soupir en sortant ma main droite de ma poche et en lui arrachant la merde qu'elle fumait avant de l'écraser et la lancer dans l'eau. D'un regard agressif comme à mon habitude je calmais la situation de suite afin qu'elle ne me frappe pas. Je pris alors un grand soupir et commença à parler.

"- Putain quelle genre de merde tu fume, je t'ai connu dans un meilleur état."

Ne la laissant pas encore prendre la parole, je tournais autour en marchant avant de me poser de dos sur la rembarre du pont et de parler à nouveau en la regardant cette fois-ci d'un air beaucoup plus amical.

"- Ça fait quoi maintenant ? 2ans ? Un peu plus qu'on s'est pas revu ? Et regarde toi t'es un putain de cadavre. Qu'est ta foutu pour te retrouver ici putain ?!"

Tournant la tête de gauche à droite en signe de négation j'étais fâché de ce que je venais de voir. Levant la tête vers le ciel tout en soufflant, elle me décevais...

"- En tout cas ça me fais plaisir de te revoir 'Ptite sœur' peu importe l'endroit, et désolé si je me suis tiré un peu à l'arrache la dernière fois qu'on s'était vu."  

Elle allait m'en vouloir c'était prévisible, je ne sais pas ce qu'elle pensait et à vrai dire je m'en foutais royalement, mais au fond j'étais vraiment heureux de revoir la seule famille qui me restait même si c'est dans ce foutu endroit. Elle était probablement la seule personne de qui je ne me servais pas pour arriver à mes fins. C'était d'ailleurs l'unique personne pour qui j'avais pris l'initiative d'éliminer moi-même tout ceux qui avaient profité d'elle sans qu'elle le sache. Me considérant toujours comme un grand frère je faisais ce que je pouvais pour elle, elle devait s'en douter mais est ce qu'elle allait encore s'en souvenir malgré mon absence...
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Rp terminé Re: T'étais pas mort toi connard ? [Pv Damon]

Message par Invité Mer 12 Mar - 2:57



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Décembre, cycle 1

Alors que t’étais posée entrain d’observer le paysage qui s’offrait à toi. Des pas se fit entendre. Tu ne te retournas pas tout de même. Tu restas toujours indifférente. Un soupir. Ton coeur qui bat. Tu le connais. Tu le reconnais. Et sans même que t’es eu le temps de capter quoi que soit. Ton join finit dans l’eau. Tu te retournes alors, frustrée, vexée. C’est qui ce mec là qui se permet de faire ça ? Et là, les sourcils froncés tu comprends. Connard. Il te regarde agressif. Alors que toi, le revoyant tu restes de marbre. à la base t’aurais flanqué un coin de poing dans la gueule à quiquonque qui t’aurais fait ça. Mais là, t’étais encore sous le choque même si tu ne faisais rien ressentir. Juste une question te travaillait, il fout quoi ici ? "- Putain quelle genre de merde tu fume, je t'ai connu dans un meilleur état." Tu réprimes un rire. Un rire mauvais. Tu repenses à tout ce qu’il t’a fait subir une fois partie. Ta chute au plus profond des enfers.

à la fin de ses paroles, il prit un air plus amicale. Il se fout de ta gueule, c’est quoi son problème ? Il arrive t’arrache ton join des mains et le fout à l’eau et maintenant il affiche un air de “je suis trop ton pote” comme si de rien n’était. Il veut sa mort ou quoi ? "- Ça fait quoi maintenant ? 2ans ? Un peu plus qu'on s'est pas revu ? Et regarde toi t'es un putain de cadavre. Qu'est ta foutu pour te retrouver ici putain ?!" Qu’est ce que t’as foutu ? Il ose te demander ça ? SI il aurait été là, peut- être que rien ne serait arrivé. Ouais. Enculé. Tu l’as laissé seul avec ses démons. Tu l’as laissé comme une moins que rien, comme une vulgaire pacotille. Tu le hais du plus profond de ton âme. Mais tu sais aussi, que haïr c’est une façon d’aimer.

Tu restes indifférent à tout ses propos. Comme si maintenant, il n’était plus rien pour toi. Mais dans ta tête, c’est tout l’inverse. Ton coeur te fait mal. Tellement mal. Un millier de petit couteau viennent t'assassiner. Et il continue son charabia. Et de plus belle encore. "- En tout cas ça me fais plaisir de te revoir 'Ptite sœur' peu importe l'endroit, et désolé si je me suis tiré un peu à l'arrache la dernière fois qu'on s'était vu."  Ptite soeur ? PTITE SOEUR. Ah ouais ça te fais plaisir enflure ? Pas à toi. Non pas du tout. Tu n’arrives plus à te contenir. Tu sers les poings si fort que tes ongles viennent saigner ta peau. D’un coup, tu le prends par le col et le plaque sur le pont. Sa tête dans le vide. Tu le fixes, droit dans les yeux. Ah ouais, t’es désolée d'être partie sans rien dire ou presque ? Désolée pour toi, mais tu peux te foutre bien profond tes excuses. "Connard. " dis- tu finalement, tête baissée, pour ne pas qu'il voit une once de tes émotions.  

Après quelques secondes, tu le lâches comme une merde. Tourne sur- toi même. Et prise d’un élan de rage, lui assigne une gifle monumentale. “ça c’est pour m’avoir rien dit sur ton départ”. Et t’enchaines par un coup de poing dans la gueule. “Et ça c’est pour m’avoir laissé seule, m’avoir jeté comme une vulgaire pacotille”. Tu souffles et t’essuis alors les mains. Reprenant ton calme. Et oui, même si tu es d’un calme presque inhumain, lui te fait sortir de tes gonds. “Ah j’ai changé ? Tu te demandes pourquoi ? Si t’aurais été là pendant toute ses années, tu l’aurais peut- être su. T’es qu’un enfoiré.” finis tu par dire avec provocation et haine. Tu ne t’étais pas mise en colère depuis des lustres. Tu restais tout le temps calme. Trop calme. Toujours trop camée. Et lui, il, lui suffisait de débarquer pour qu’il te mette hors de toi. Mais au fond. Putain au fond de toi, tu voulais le prendre dans tes bras. Le serrer. Pleurer. Lui faire promettre que maintenant, il ne partirait plus. Qu’il ne te laisserait plus. Qu’il t'emmènerait partout où il va. Comme quand vous étiez plus jeune. Tu passais ta vie chez lui. A rire. A vous chamailler comme des gamins ou à partir dans des discutions que seule vous pouvez comprendre. C’était ton tout à l’époque. Tu l’aimais à cette époque. Maintenant, ce n’est plus rien. Plus rien que de la rage, de la haine que tu exprimes envers lui. Mais faut que tu te calmes, ne lui fait rien ressentir. Il serait trop fière de te voir exprimée ce qu’au fond de toi tu éprouves.

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Rp terminé Re: T'étais pas mort toi connard ? [Pv Damon]

Message par Invité Jeu 13 Mar - 17:58

Comme je le craignais quelque part elle m'en voulait, mais sa réaction était naturelle. Après autant de temps d'absence ça réaction ne pouvait pas être différente. Je la regardais c'était pas la Allie que je connaissait, c'était loin d'être la personne avec qui j'avais grandis, c'était loin aussi de la fille qui passait ses vacances chez nous. C'était une sorte de junkie, droguée qui broyais du noir rien qu'au regard. Ce regard noir n'inspirais pas confiance et n'affichait rien d'autre hormis une sorte d'haine profonde pour une raison qui m'étais inconnue.

Elle avança un "connard" mais ce mot était tremblant, elle avait la tête baissée, sa peine était à peine camouflée. Ensuite tout se passa très vite, d'un mouvement brusque elle me mit une bonne gifle, je ne l'avais même pas anticipé. La douleur ne se faisait pas trop ressentir juste quelques picotements, elle enchaîna ensuite par un coup de poing. Je ne disais rien je me suis laissé faire elle justifiait cette haine par le fait que je ne lui ai rien dis sur mon départ. Soudain très rapidement je me suis souvenu du jour de mon départ. C'était un dimanche assez froid j'étais parti vraiment tôt de chez moi il n'y avait presque personne dehors et la ville ne se réveillait pas encore, le soleil commençait à peine a sortir. Seul mon père était au courant de mon départ. Je n'avais rien dis à Allie de peur qu'elle ne veuille me suivre. Mon but était simple se faire connaitre par toute les communautés "underground, hooligans et autres caïds" afin de me renforcer mentalement et physiquement, en aucun cas je ne pouvais le dire à Allie je savais bien qu'elle allait m'en dissuader.

Bref retour à la réalité. La situation dégénérait de plus en plus, je l'avais laisser finir, son petit numéro de démonstration de force m'insupportais légèrement, j'avais décidé de pas me laisser même si je ne voulais pas lui faire de mal, seulement un peu d'intimidation pour lui montrer ce que moi j'étais devenu. D'un coup brusque je lui ai écrasé le pied gauche avec mon pied droit, et de ma main droite l'ai chopé par la gorge. je me suis relevé très rapidement tout en serrant légèrement sa gorge pour qu'elle rentre en état de panique et me lâche. Une fois ceci fais je la tenais toujours par la gorge mais je serrais plus. Rien que l'idée de lui faire du mal me traversa brutalement le cœur, on s'était pas vu depuis longtemps, mais on avait passé énormément de temps ensemble, je la considérais comme ma vraie petite sœur.

Je me tenais débout tout en la tenant devant moi d'une main je la regardais avant de fouiller ses poches avec ma main gauche, de la came, de la came et encore de la came... D'un coup violent j'ai tout jeté par dessus le pont et je me suis rapproché d'elle, elle ne se débattait même pas...
J'avais enfin décidé de prendre la parole,

"- Physiquement ta changée Allie, mais mentalement t'es toujours la même, t'es faible, vraiment faible, c'est la principale raison pour laquelle je ne voulais rien te dire."

Tout ça n'était bien évidemment pas vrai, mais elle m'a fait chier alors la provocation était mon arme pour me défendre étant donné que je n'allais pas la frapper. Elle semblait encore plus énervée, mais une fois que je voyais son regard tout ceci n'était en réalité qu'une haine due à de la tristesse, elle ne savait pas masquer ce qu'elle ressentait vraiment. Au fond de moi je n'avais qu'une envie c'était de l'enlacer et lui dire à présent je suis la tes vieux démons tu peux les dégager... Mais il fallait bien que je clarifie plusieurs choses avant de faire ça...

"- Je sais que tu m'en veux, que je suis un enfoiré, un connard ou toute autre saloperie, et que tu va prétendre que tout ça c'est à cause de moi."

Suite à cette phrase la je lui ai attrapé un bras et j'ai resserré un tout petit peu mon emprise sur sa gorge avant de lui parler,

"- Cependant la prochaine fois que je te vois avec la came je te broie les os..."

Affichant un regard assassin, je me calmais petit à petit avant de complètement la relâcher. Je la regardais de haut en bas, je bouillonnais de rage contre moi même a l'idée de savoir ce qu'elle est devenu par ma faute.

"- Je suis sincèrement désolé, frappe moi encore et toujours mais ça ne changera rien au passé. Réfléchis juste à tout les bons moments qu'il y a eu dans le passé."

Ayant remis mes mains en poche je me contenais de pas la serrer contre moi, putain de fierté qui me disais d’arrêter et surtout de dégoût a la vu de ce qu'elle est devenue. Mes mains tremblaient dans mes poches et je me mordais les lèvres tellement que je m'en voulais mais je n'y pouvais rien tout ça c'était du passé. A travers mon regard on pouvait lire tout ce que je pensais vu mon état...
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Rp terminé Re: T'étais pas mort toi connard ? [Pv Damon]

Message par Invité Dim 16 Mar - 1:12



I want to hide the truth I want to shelter you But with the beast inside There's nowhere we can hide.

Décembre, cycle 1

Une douleur se fait ressentir sur ton pied droit. Tu fronces légèrement les sourcils. Il vient de te l’écraser avant de se relever plus vite que la lumière et te prendre par la gorge. Alors c’est comme ça qu’il était devenu ? Un jeune homme pleins de dégoût envers toi. ça te faisait mal. Mais tu ne faisais rien ressentir, tu restais de marbre, même lorsqu’il prit ta came et la jeta dans l’eau. Au fond, tu l’avais peut- être mérité? Il fallait bien que quelqu’un te réveille de ton cauchemar. Et c’est ce qu’il a fait en te prononçant cette phrase. Cette phrase que tu redoutais. "Physiquement ta changée Allie, mais mentalement t'es toujours la même, t'es faible, vraiment faible, c'est la principale raison pour laquelle je ne voulais rien te dire." Ces mots résonnaient comme un écho dans ta tété. Faible. Faible. C’est tout ce que tu étais. Il avait raison. Alors que pendant toute ces années t’essayais de prouver le contraire au monde entier. Mais tu restais toujours une minable. Une petite camée que tout le monde fuient. Une petite héroïnomane qui dès qu’elle arrive à s’en sortir, replonge comme une merde. Parce que t’en sortir c’est ton seul but.

Tu le regardais, droit dans les yeux, sans la moindre expression. Sans même bouger un petit doigt pour te sortir de son étreinte. Et lui continuait à te parler. "Je sais que tu m'en veux, que je suis un enfoiré, un connard ou toute autre saloperie, et que tu vas prétendre que tout ça c'est à cause de moi." Non, c’est faux. C’est pas de sa faute. C’est de la tienne. Que de la tienne. Lui, il aurait juste pu t’aider à t’en sortir lorsqu’il était temps. Tu ne peux t’en vouloir qu’à toi- même. Et c’est pour cette raison, que tu ne dis rien. Que tu te laisses faire lorsqu’il attrape ton bras et resserre un peu ta gorge. Tu fais de ton possible pour garder ton souffle. Tu manques peu à peu d’air. Putain. "Cependant la prochaine fois que je te vois avec la came je te broie les os..."
Il n’avait jamais affiché ce regard assassin envers toi. Il n’avait jamais fait preuve de violence contre toi. Et pourtant, là, il le faisait. faisait- il ça par amour ou par haine ? Tu n’en savais rien. Mais ce qu’il te disait, te percutait de pleins coeur. C’est comme si votre relation avait changé. T’allais le fuir maintenant mais pas changer pour autant. T’étais comme ça aujourd’hui, tu seras comme ça demain. C’était trop tard. Et il fallait qu’il se le mette dans le crane. Après t’avoir relâché comme une merde, tu restas au sol quelques instants. Le temps qu’il parle. Qu’il s’excuse. Comme si c’était de sa faute. “ Je suis sincèrement désolé, frappe moi encore et toujours mais ça ne changera rien au passé. Réfléchis juste à tout les bons moments qu'il y a eu dans le passé." Doucement, tu te relevas. Lui faisant face. Les poings serrés. et tu l’observas, ça se voyait. ça se voyait qu’il s’en voulait, qu’il ressentait du dégoût face à ta petite personne, qu’il voulait te prendre dans ses bras mais qu’il avait comme toi, trop de fierté. Alors pour éviter que tu le vois, il se mordait la lèvre inférieur. Raté.

Tu lui tournas le dos, quelques instants. Une larme coula le long de ta joue. Tu repensais aux bons moment. Ce fut comme un électrochoc. Vous aviez tout fait foirer. Toi en te détruisant, lui en se cassant. Et ça te faisait, mal. Tellement mal. Tu tapas du pieds par frustration et rejoignis le pont. T'accoudant à ce dernier. “Si je te dégoûte autant, je ne vois pas pourquoi tu restes ici. Je ne changerais pas. C’est trop tard. T’aurais pu m’aider lorsqu’il était encore temps. Mais t’es parti. Et ta raison, je ne suis qu’une faible. Une petite camée, un cadavre. Mais tsai quoi ? C’est comme ça. C’est pas en me menaçant que t’arriveras à me faire changer. ” Fis- tu le regard dans le vide. Reprenant ton souffle, tu poursuivies. “Quand, je t’ai connu tu sais t’étais mon modèle. La personne en qui j’avais une confiance aveugle. La personne que j’admirais. T’étais là pour moi, quand ça n’allait pas. Tu me protégeais. Tu me serrais dans tes bras lorsque je pleurais même quand je te faisais la gueule pour un rien, tu étais doux. “ Un sourire nostalgique s’étira le long de tes lèvres. “ Et maintenant, maintenant… Je ne te reconnais plus Damon Walker. Tu n’es plus celui que j’ai connu. Tu n’es plus doux. Tu fais le boss maintenant.” Finis- tu par dire dans un souffle.

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Rp terminé Re: T'étais pas mort toi connard ? [Pv Damon]

Message par Invité Dim 16 Mar - 4:56

"- FERME LA Allie !"

Mon corps entier me faisait mal, la haine mélangé à la colère me faisait cet effet assez étrange. J'avais envie de la frapper encore et encore. Elle osait répondre à ma provocation en disant qu'elle était faible et que moi j'étais un boss... Me mettant la main droite sur la face pour me calmer je prenais plusieurs respirations avant de pouvoir poursuivre. Je réfléchissais à ces propos, qu'est que je devais faire ? Mes poings serrés j'étai prêt à la frapper, mais mon corps refusait de bouger, au fond j'en étais totalement incapable. Et puis ce sourire qu'elle afficha m'empêcha finalement de lui faire du mal...
Je pris finalement la parole en disant simplement ce qui me passait par la tête,

"- T'as raison Allie, j'ai changé, pour rien te cacher ils étaient 32. Je les ai tous éliminés, et puis le nombre d'enfoirés que j'ai tabassé et éliminé lorsqu'on était gosse tu l'imagine pas non plus".

Ces mots venaient tout seuls, je ne savais presque pas ce que je disais je me contentais de parler tout en étant perdu dans mes pensées. Finalement ayant mis ma fierté de coté j'avais parlé avec franchise,

"- Pourquoi je reste ici ? J'en sais rien l'ironie avait décidé que l'on se retrouve ici tout les deux alors je suis à quoi bon bouger autre part si je peux rester avec ma sœur".

Soudain au prochain clignement des yeux celui-ci semblait interminable, dans ma tête toutes les images de mon enfance passaient à une vitesse ahurissante, le premier jour ou on avait accueillis Allie, elle était toute petite je ne savais même pas si j'avais dix ans. Puis été après été on jouait, on grandissait, on rigolais ensemble, et on faisait des conneries comme on pouvait... Et soudain je me suis souvenu du jour ou j'avais décidé de l’appeler sœurette, elle faisait intégralement partie de ma famille pour moi, c'était ma petite sœur non pas de sang mais moralement, elle me comprenait et moi en échange je lui apprenais ce que je pouvais.
Et puis ce jour arriva, le jour de mon départ, au fond je justifiais toujours cela par le fait de devenir plus fort, d'avoir plus de notoriété, de devenir comme elle l'a dit... un boss... Mais à quoi bon ? Pour la première fois je me suis remis en question, à quoi bon tout ça ? J'avais la richesse, j'avais tout ce que je voulais, j'avais une famille, j'avais Allie ma petite sœur, mais le pouvoir me rongeais c'était la drogue ultime, l'argent on en veut toujours plus ? Mais le pouvoir on en à jamais assez c'est pire que l'argent, une fois qu'on y à goûté on ne s’arrête pas, on veut plus être le boss du quartier, de la ville, de la région, mais du pays et devenir complètement mégalomane. Tuer, assouvir, détruire, briser sa famille, abandonner ceux qu'on aime dans le simple but de devenir plus fort, et pourtant je ne suis qu'un être humain je devais mourir tôt ou tard, peu importe la notoriété j'allais tomber dans l'oublis tôt ou tard...

Je venais de réaliser qu'au final j'étais un égoïste lâche, qui à tout préférer plaquer pour son propre profit, quelque part j'avais tourné le dos à l'ordre également en prétextant que je faisais tout ça pour son bien. Non seulement l'ordre n'est plus, mais ma petite sœur n'est plus elle même, et on se retrouve finalement tout les deux ici.

Mon regard était vide et regardait au loin, j'avais la bouché fermé, mais mon expression était celle d'une personne venant de subir un choc, je devais me reprendre très rapidement sinon j'allais plus me contrôler, j'avais envie de frapper, de pleurer, de revenir en arrière, de tout changer et de brûler ce maudit institut et cette putain d’île.

Self-contrôle, self-contrôle, putaiiiiin, je faisais des grimaces de rage, je fermais mes yeux pour que les larmes ne coulent pas. De très longues minutes venaient de passer peut-être même plus qu'un quart d'heure. Mais elle, elle était encore là, pourquoi elle se tire pas putain ? Pourquoi tout ce qu'elle venait de me dire me touchais autant ? C'était comme lors d'un accident tout se passe en quelques secondes, on meurt ou pas mais à la fin on en resort changé avec une autre vision du monde on remercie le ciel ou je ne sais qui d’être rester en vie. Pourtant moi je remerciais également inconsciemment tout simplement d'avoir retrouver ma petite sœur.

Rouvrant les yeux, et ne pouvant garder un regard méchant, j'avais celui d'une personne extremement triste tout en affichant un grand sourire, je ne voulais pas d'une image de boss en tout cas pas devant la seule personne qui fait encore partie de ma famille. Finalement je me suis littéralement jeté sur elle en la prenant dans mes bras et lui faisaint un calin, les larmes coulaient de mes yeux je ne pouvais rien y faire contre... Parfois il faut savoir mettre de coté la fierté surtout avec la famille.

Parlant doucement, vu que je me contenais de pas chialer mais simplement de laisser couler quelques larmes je lui parlais tout en la tenant contre moi,

"- Il n'est jamais trop tard, jamais Allie".

Une fois de plus mes paroles venaient naturellement, je n'avais même pas besoin de réfléchir.

"- Si on se retourne toujours vers la passé on n'avance pas, à présent ta le choix soit te créer ta vie, soit la subir avec ta putain de came. Dans le premier cas je serai la pour t'aider frangine".

Le fait d'avoir mis de coté ma fierté ne me faisait à présent ni chaud ni froid, qu'importe le pouvoir lorsqu'on à une sœur qu'on aime, mais ça je ne m'en rendais pas compte auparavant...
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Rp terminé Re: T'étais pas mort toi connard ? [Pv Damon]

Message par Allie C. Skydink Ven 2 Mai - 20:41



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Décembre, cycle 1
"FERME LA Allie !"

C’est ce que tu fais. Tu te hais. Tu n’es même pas obligée de te retourner pour l’observer. Tu devines ses gestes. C’est comme si tu étais dans sa tête. Tu l’as touché en plein coeur, comme ce qu’il t’a fait. Y’a que la vérité qui blesse comme on dit. Et tu savais qu’il voulait te taper. Alors, tu lui fis volte face. “Viens, jt’attends.” fis tu avec provocation. De toute façon, tu étais déjà comme morte. Tu te foutais de tout. Rien ne t'atteins sauf ses paroles. Pourquoi, putain. Il a pas le droit. Mais, c’est comme ça. Parce qu’au fond de toi, tu l’aimes comme un frère. Comme un père. Tu te retournas alors et te ré accouda au bord du pont, tu savais qu’il n’allait pas te frapper. Tu attendais qu’il se livre et c’est ce qu’il fit.

" T'as raison Allie, j'ai changé, pour rien te cacher ils étaient 32. Je les ai tous éliminés, et puis le nombre d'enfoirés que j'ai tabassé et éliminé lorsqu'on était gosse tu l'imagine pas non plus". Tu ne préfères pas l’imaginer. Il faisait tout ça derrière ton dos. Tu te dis alors qu’il te cachait bien des choses. Sûrement des choses que tu ne peux imaginer. ça te flanqua un coup de froid dans l’échine. Peut- être que tu ne le connais pas si bien. Tu te sentis trahis à ce moment. Et si, il se servait de toi comme tout les autres ? Tout se mélangeait dans ta tête. Tu commenças à trembler. Tu ne voulais pas croire qu’il faisait ça. Pourquoi, il ne t’a rien dit ? Pour te protéger hein. Tu n’y croyais pas. T’es butée. Trop butée. Tu ne fais confiance en personne, mais à lui tu lui faisait confiance avant. Mais devrait- tu continuer à lui faire confiance ? T’es parano meuf. Trop. Réveille- toi, sors de ce cauchemars tout le monde n’est pas un maître chanteur.

" Pourquoi je reste ici ? J'en sais rien l'ironie avait décidé que l'on se retrouve ici tout les deux alors je suis à quoi bon bouger autre part si je peux rester avec ma sœur". “T’as soeur hein.. Tss” chuchotas- tu.  T’étais vexée. Tellement vexée. Tu serrais les poings, tes mains tremblaient encore et encore. Ton regard fixait l’étendu d’eau. Tu repensais à toute les fois où tu voulais sauter, rejoindre cette eau limpide qui pourrait te purifier. Putain. Tu baissas soudainement la tête, la posant sur le rebord. Le manque de cam se faisait ressentir, sans compter ta fragilité face aux paroles de Damon.

Le temps passait, les minutes défilaient lentement. Tu ne savais plus comment réagir, tu ne savais plus quoi dire. Tourmentée. Trop tourmentée. Ton coeur saignait. Ton corps criait la cam. Ton coeur implorait ton frère. Tu retenais tes larmes. Tu ne voulais pas pleurer en sa présence. Il ne mérite pas tes larmes. Il ne mérite que ton indifférence. Tu voulais partir. Tu voulais te casser, mais tu n’arrivais pas à bouger. Ton corps t’en empêchait. Tu voulais qu’il ce passe quelque chose. Tu voulais qu’il te prenne dans ses bras, s’excuse. Mais au fond, tu le redoutais. Tu ne savais pas comment tu allais réagir. Alors tu te retournas. Le regarda. Attendu. Attendu, tu ne sais quoi. Qu’il décide de ranger sa fierté. Et là coup d’état. Il était triste tout en affichant un grand sourire. Avais- tu retrouvé ton Damon ? Avais- tu retrouvé, le frère patient et doux qu’il était auparavant ? Et tu ne compris plus rien. Il se jeta littéralement sur toi. T’enlaça à t’en broyer les poumons. Tu refermas avec hésitation tes bras autour de lui, plaçant ton visage dans le creux de son cou. Tes muscles se détendirent soudainement. " Il n'est jamais trop tard, jamais Allie". Tu voulais le gifler lorsqu’il te dit ça. Tu cramponna légèrement son haut. T’es une cause perdue. Tu tiens tellement à lui que tu aimerais qu’il te laisse. Tu fais souffrir tout le monde autour de toi. Tu te prends tellement pour une merde que tu veux que tout le monde te détestent. Pour toi, tu ne les mérites pas.

"Si on se retourne toujours vers la passé on n'avance pas, à présent ta le choix soit te créer ta vie, soit la subir avec ta putain de came. Dans le premier cas je serai la pour t'aider frangine". Tu écarquillas les yeux, une larme coula le long de ta joue, que tu essuyas rapidement. Tu t’en allas de ses bras délicatement, le regardant droit dans les yeux, tu pris une expression sèche alors qu’au fond de toi, c’était tout le contraire. “Dans le deuxième cas, tu ne seras pas là donc. Damon, je ne changerais pas. ça sert à rien d’essayer de m’aider. Je n’ai besoin de personne. C’est mon problème pas le tient et je vis bien avec” Tu te retournas serra les poings et repris la parole. “On a plus rien à se dire. Je ne veux plus avoir à faire à toi. C’est mieux pour toi comme pour moi.” Finis- tu par dire sur un ton glacial. Tu ne pensais rien de ce que tu disais. Tu faisais ça pour le protéger. Tu sais que tu te détruis alors tu ne veux emmener personne dans ta chute. Parce qu’on le sait tous, tu ne changeras sûrement jamais Allie. Et tu tiens tellement à lui que tu préfères t’éloigner de lui quitte à en en souffrir.
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